Archive for janvier 2011
Bientôt le prochain KKVKVK et en attendant petits cakes à la mandarine et huile d'olive
Article écrit et réalisé par Very Easy Kitchen
J’ai eu la chance de remporter le dernier KKVKVK 37 organisé par Clémence du blog Une cuillère pour les délices.
Merci pour vos votes. Je participe depuis longtemps à ce jeu et jusque là, j’avais fini 3ème sur le thème des Religieuses. Un flan qui m'a porté chance car la concurrence était dure.
J’ai donc la joie d’organiser le prochain KKVKVK 38. Vous devriez en savoir plus d’ici une quinzaine de jours. J’ai le thème en tête. Ce sera facile, ouvert à tous mais il faudra être créatif et affutez les objectifs car ce ne sera pas forcément facile à photographier...
En attendant, quelques petits cakes à base de mandarine et huile d’olive pour appeler la chaleur. Les mandarines ont peu à peu disparu des étals au profit des clémentines moins parfumées mais aussi sans pépins et à l’épluchage plus facile. La clémentine est un hybride entre la mandarine et l’orange douce. Comme elle n’a pas de pépins, on l’obtient par clonage. Si vous trouvez des mandarines, n’hésitez pas à en acheter car elles ont une saveur incomparable. N'oubliez pas aussi les oranges sanguines et pourquoi pas tenter ce Bloody Orange Cake.
Petits cakes à la mandarine et huile d’olive
Pour 6 cakes individuels
190 g de farine à levure incorporée
200 g de sucre blond
3 oeufs
Les zestes de 3 mandarines
100 g d’huile d’olive
Pour le sirop d’imbibage
50 g d’eau
50 g de sucre
des tranches fines de mandarine
Préchauffez votre four à 160 °C.
Préparez vos zestes de mandarine (très facile si vous êtes l’heureux possesseur d’une rape microplane). Mélangez-les au sucre. Battez longuement le sucre avec les oeufs que vous ajoutez un par un. Le mélange doit augmenter de volume et être lisse.
Rajoutez une pincée de fleur de sel et votre huile d’olive. Battez à nouveau.
Rajoutez en plusieurs fois votre farine tamisée.
Versez dans des moules à cake individuels en silicone ou carton/bois. Faites cuire pendant environ 35/40 minutes.
Pendant la cuisson des cakes, préparez votre sirop en mélangeant eau et sucre. Faites dissoudre le sucre et à ébullition coupez le feu. A joutez au sirop des tranches fines de mandarines qui vont légèrement confire dans le sirop. Laissez le refroidir.
Dès la sortie du four, imbibez vos cakes avec le sirop à la mandarine et décorez avec les tranches de mandarine confites.
J'ai une prédilection pour l'huile d'olive : l'Elixir. C'est une huile française bio produite avec un ancien moulin traditionnel par les Oliverons. Elle est conservée dans des bouteilles en métal. Un vrai elixir.
Prochain post : In de Wulf, l'attente a assez duré pour certains.
J’ai eu la chance de remporter le dernier KKVKVK 37 organisé par Clémence du blog Une cuillère pour les délices.
Merci pour vos votes. Je participe depuis longtemps à ce jeu et jusque là, j’avais fini 3ème sur le thème des Religieuses. Un flan qui m'a porté chance car la concurrence était dure.
J’ai donc la joie d’organiser le prochain KKVKVK 38. Vous devriez en savoir plus d’ici une quinzaine de jours. J’ai le thème en tête. Ce sera facile, ouvert à tous mais il faudra être créatif et affutez les objectifs car ce ne sera pas forcément facile à photographier...
En attendant, quelques petits cakes à base de mandarine et huile d’olive pour appeler la chaleur. Les mandarines ont peu à peu disparu des étals au profit des clémentines moins parfumées mais aussi sans pépins et à l’épluchage plus facile. La clémentine est un hybride entre la mandarine et l’orange douce. Comme elle n’a pas de pépins, on l’obtient par clonage. Si vous trouvez des mandarines, n’hésitez pas à en acheter car elles ont une saveur incomparable. N'oubliez pas aussi les oranges sanguines et pourquoi pas tenter ce Bloody Orange Cake.
Petits cakes à la mandarine et huile d’olive
Pour 6 cakes individuels
190 g de farine à levure incorporée
200 g de sucre blond
3 oeufs
Les zestes de 3 mandarines
100 g d’huile d’olive
Pour le sirop d’imbibage
50 g d’eau
50 g de sucre
des tranches fines de mandarine
Préchauffez votre four à 160 °C.
Préparez vos zestes de mandarine (très facile si vous êtes l’heureux possesseur d’une rape microplane). Mélangez-les au sucre. Battez longuement le sucre avec les oeufs que vous ajoutez un par un. Le mélange doit augmenter de volume et être lisse.
Rajoutez une pincée de fleur de sel et votre huile d’olive. Battez à nouveau.
Rajoutez en plusieurs fois votre farine tamisée.
Versez dans des moules à cake individuels en silicone ou carton/bois. Faites cuire pendant environ 35/40 minutes.
Pendant la cuisson des cakes, préparez votre sirop en mélangeant eau et sucre. Faites dissoudre le sucre et à ébullition coupez le feu. A joutez au sirop des tranches fines de mandarines qui vont légèrement confire dans le sirop. Laissez le refroidir.
Dès la sortie du four, imbibez vos cakes avec le sirop à la mandarine et décorez avec les tranches de mandarine confites.
J'ai une prédilection pour l'huile d'olive : l'Elixir. C'est une huile française bio produite avec un ancien moulin traditionnel par les Oliverons. Elle est conservée dans des bouteilles en métal. Un vrai elixir.
Prochain post : In de Wulf, l'attente a assez duré pour certains.
Céviche de cabillaud, cracker au maïs et citron vert
Article écrit et réalisé par Very Easy Kitchen
Après le Nord de la France et la Belgique ( je n’ai pas oublié le compte-rendu de In de Wulf, je vous fais simplement patienter un peu) nous filons au Pérou avec cette recette trouvée sur un magazine en ligne belge (tiens tiens...) : Victoire Mag. La boucle est bouclée.
Mélangez les deux farines avec le sel, une pincée de piment d'espelette. Ajoutez le beurre coupé en morceaux et mélangez à la main pour obtenir une pâte granuleuse. Ajoutez ensuite l'eau progressivement jusqu'à obtenir une pâte homogène identique à une pâte à tarte.
Allez, musique pour finir...
Après le Nord de la France et la Belgique ( je n’ai pas oublié le compte-rendu de In de Wulf, je vous fais simplement patienter un peu) nous filons au Pérou avec cette recette trouvée sur un magazine en ligne belge (tiens tiens...) : Victoire Mag. La boucle est bouclée.
Le ceviche est un plat de poisson cru légèrement cuit par le citron ou un autre agrume. Lola qui a imaginé cette recette, l’a modernisée avec ce cracker de maïs au citron vert et par une présentation au verre et non au plat. Une version péruvienne revisitée par elle et qui est facile à faire.
Céviche de cabillaud, cracker au maïs et citron vert
Pour 2 personnes
Pour le ceviche
·200 g de cabillaud
·quelques tiges de coriandre fraîche
·2 citrons verts
·1/4 petit piment rouge
·1/2 oignon rouge
·1/2 gousse d'ail
·1 avocat
·1 orange
Pour les crackers
·80 g de farine de blé
·60 g de farine de maïs (lola utilise de la semoule de maïs)
·35 g de beurre à température
·3 cuillères à soupe d'eau
·zeste d'un citron vert
·fleur de sel
·piment d'Espelette
Céviche de cabillaud, cracker au maïs et citron vert
Pour 2 personnes
Pour le ceviche
·200 g de cabillaud
·quelques tiges de coriandre fraîche
·2 citrons verts
·1/4 petit piment rouge
·1/2 oignon rouge
·1/2 gousse d'ail
·1 avocat
·1 orange
Pour les crackers
·80 g de farine de blé
·60 g de farine de maïs (lola utilise de la semoule de maïs)
·35 g de beurre à température
·3 cuillères à soupe d'eau
·zeste d'un citron vert
·fleur de sel
·piment d'Espelette
Mélangez les deux farines avec le sel, une pincée de piment d'espelette. Ajoutez le beurre coupé en morceaux et mélangez à la main pour obtenir une pâte granuleuse. Ajoutez ensuite l'eau progressivement jusqu'à obtenir une pâte homogène identique à une pâte à tarte.
Abaissez la pâte finement (2 mm), et découpez des disques à l'emporte-pièce. Vous pouvez faire des trous à l'intérieur avec un petit emporte pièce pour passer une longue cuillère. Faites cuire les disques percés sur une feuille de silicone ou de papier cuisson, saupoudrés du zeste de citron et de fleur de sel. Enfournez 10-12 min à 170 ºC. Après cuisson, réservez les sur une grille.
Coupez le poisson en cubes un peu plus gros que pour un tartare. Mettez-les dans un récipient et ajoutez le jus des citrons, la coriandre fraîche hachée, les oignons et l'ail émincés, le poivre, le sel, l'avocat et l'orange épluchés et coupés en morceaux, couvrez d'un film et réservez au frais une quinzaine de minutes a minima; Une heure c'est mieux le plat se mangeant très frais.
Servez dans un verre recouvert du cracker de maïs et citron vert
Si ça ne fait pas venir la chaleur je ne comprends vraiment pas ! Un gros clin d'oeil à de nouveaux lecteurs au Canada... il faudra encore attendre un peu pour vous.
Allez, musique pour finir...
Petites quenelles de volaille au safran - Le paradoxe de la Laiterie* à Lambersart.
Article écrit et réalisé par Very Easy Kitchen
De retour du Nord de la France et de Belgique, où nous avons fait notre petite virée quasi semestrielle des restaurants flamands et expositions. Je vous parlerai bientôt dans un post complet de Kobe Desramault, jeune chef de In de Wulf en Belgique. Nous avions attendu longtemps avant de nous y rendre mais la découverte a été fulgurante; un très grand restaurant. Samedi entre deux expos à Lille, nous avons déjeuné à La Laiterie* dans la banlieue de Lille à Lambersart dont je vous parlerai après.
Comme je n’ai pas cuisiné du week-end, j’en profite pour vous poster une recette réalisée il y a quelques jours. J’aime bien tester différents bouillons pour cuire des aliments. mais je n’ai pas été enthousiasmée par la cuisson des quenelles dans un bouillon de safran. La recette vaut pour celles des quenelles. C’est la première fois que j’en faisais «maison» et je pensais que c’était très compliqué. Le plus dur en fait est de bien les assaisonner. Pour le reste c’est assez facile. Ma grand-mère qui avait appris la cuisine à Lyon, nous préparait traditionnellement des quenelles de veau le dimanche soir : pochées dans de la sauce tomate avec des champignon : ma madeleine de Proust.
Petites quenelles de volaille au safran
Ingrédients pour 16 petites quenelles ou 8 moyennes :
50 cl de bouillon de volaille (bouillon Ariaké)
Quelques filaments de safran
2 escalopes de poulet moyennes
1 pincée de noix de muscade rapée
2 oeufs
80 g de beurre
25 cl de lait
150 g de farine
Faites chauffer votre bouillon de volaille avec les filaments de safran. Plongez les escalopes de volaille dans le bouillon et faites les cuire à feu moyen pendant 15 minutes environ. Au bout de 15 minutes, sortez-les du bouillon. Mettez de côté le bouillon, il vous servira à pocher les quenelles. Hachez finement les escalopes de poulet au mixer. Salez et poivrez vos quenelles. N’hésitez pas à goûter pour rectifier l’assaisonnement. Réservez la chair mixée.
Dans une casserole, versez le lait et le beurre coupé en dés avec une pointe de muscade râpée, du sel et du poivre. Faites chauffer doucement. Quand le beurre est fondu, ajoutez la farine en une seule fois; Remuez bien pour obtenir une pâte que vous allez dessécher pendant 5 minutes à feu doux en remuant constamment.
Coupez le feu et ajoutez un oeuf entier. Remuez bien. Quand l’oeuf est absorbé, ajoutez le second et faites la même opération. Rajoutez ensuite la chair de volaille mixée. Mélangez bien. vous obtenez une pâte épaisse qui va être facile à travailler. Laissez refroidir le tout pendant une petite heure.
Réalisez vos quenelles en prenant une portion de pâte : l’équivalent d’une cuillère à soupe bombée. Façonnez les en forme de quenelle en les roulant avec les paumes des mains. Vous pouvez en réaliser 16 petites quenelles ou 8 quenelles moyennes.
Faites réchauffez le bouillon au safran. Quand il est bien chaud (pas en ébullition), pochez vos quenelles. Elles vont grossir et remonter à la surface (elles doivent cuire environ 10/12 minutes). Servez les chaudes avec le bouillon.
Les quenelles étaient bonnes. En revanche je n’ai pas été convaincue par le bouillon de safran qui ne met pas en valeur la quenelle. Si vous testez cette recette, dites moi ce qu’il manque selon vous.
Cette recette est issue du Livre : Recettes et autres histoires de poules de Laurence et Gilles Laurendon chez Marabout.
Le paradoxe de La Laiterie*
Benoit Bernard est un chef à dreadlocks, globe-trotteur, épicurien et fort en gueule. Une vraie gueule.
Vif, il ne cache pas ses opinons, sur tout : la vie, Paris, la bouffe et le vin. Il les partage avec nous à table, part et revient car une idée lui a traversé l’esprit. Il nous dit qu’il y avait François Simon la semaine précédente dans son restaurant, et qu’il était à la plus mauvaise table. Il n’aime pas les blogs qui jugent trop vite et puis demande notre avis sur les vins nature.
Il voudrait renverser les codes de la cuisine mais finalement son âme est tellement amoureuse des produits notamment des poissons et de la truffe qu’il ne veut pas les martyriser avec d’audacieuses associations. Sa devise en cuisine "de bons produits, une belle assiette et une bonne cuisson"
2 ou 3 saveurs maximum par plat car il ne complexifie pas le plat, il le simplifie. La présentation est très classique, les cuissons impeccables. Les plats sont tous très équilibrés à l’exception du dessert qui nous décevra. Clientèle bourgeoise majoritairement lilloise. On est dans l’anti néo-bistrot parisien qui tortille dans tous les sens les ingrédients et cherche les associations les plus sauvages. Le personnel est parfait et efficace.
Finalement l’ogre fait peur mais ses plats rassurent… cherchez le paradoxe.
Nous avons commencé par 4 amuses bouche : petit croque monsieur doré, welsch rarebit,une succulente bouchée de thon aux 5 épices et des regatonis crème parmesan et truffe de Bourgogne.
Nous sommes entrés dans le vif du sujet avec en entrée un oeuf poché dans une émulsion aux topinambours, brunoise de topinambours et truffe. Très bon plat sans prise de risque mais parfaitement exécuté avec un jus de viande qui réhausse les saveurs.
Pour accompagner les amuses-bouche et l'entrée, un vin de la Vallée du Rhône, un Saint-Peray 2009, les Pôtiers de chez Guilleron, un vin gras aux notes de fleurs blanches.
En plat nous avons eu un bar à la peau délicatement croutillante avec une crème de cerfeuil tubéreux et un jus de persil.Sur le bar, un délicieux pannequet de blette farci d'huitre cuite avec des citrons confit. J'aime le bar comme cela. Un vin Corse naturel de chez Didier Arena à Patrimonio pour accompagner le poisson.
Le fromage est considéré comme un plat. Un demi Stillton est servi en centre de table.
Quel bonheur de couper de fines tranches à manger avec les excellents pains maison : campagne, céréales, baguette ou à l'huile d'olive. Nous avons le choix également dans les fromages au plateau avec une belle sélection de fromages du Nord et de brebis. Vin rouge au verre dont cette surprenante bouteille. Pas d'avis car je n'y ai pas gouté.
En pré-dessert, une gelée de rose au litchees, fraîche et délicate. Mais pourquoi ce napperon de papier qui plombe tout?
Nous avons été déçus par le dessert. Une brunoise de fruits exotiques servie avec un sorbet ananas, un coulis de mangue et des macarons coco. Pas d'originalité, un peu trop sucré. Le sorbet m'aurait suffi.
Ce menu Saveur 4 services est à 68 euros sans les vins et café. Un menu consensuel qui s'il n'est pas des plus original (ce qui permet de plaire aussi bien en repas d'affaires, qu'en réunion de famille)reste parfaitement exécuté.
La Laiterie*
138, avenue de l'hippodrome
59 130 - Lambersart
tel : 03 20 92 79 73
Les surprises nous les auront le lendemain chez In de Wulf.
De retour du Nord de la France et de Belgique, où nous avons fait notre petite virée quasi semestrielle des restaurants flamands et expositions. Je vous parlerai bientôt dans un post complet de Kobe Desramault, jeune chef de In de Wulf en Belgique. Nous avions attendu longtemps avant de nous y rendre mais la découverte a été fulgurante; un très grand restaurant. Samedi entre deux expos à Lille, nous avons déjeuné à La Laiterie* dans la banlieue de Lille à Lambersart dont je vous parlerai après.
Comme je n’ai pas cuisiné du week-end, j’en profite pour vous poster une recette réalisée il y a quelques jours. J’aime bien tester différents bouillons pour cuire des aliments. mais je n’ai pas été enthousiasmée par la cuisson des quenelles dans un bouillon de safran. La recette vaut pour celles des quenelles. C’est la première fois que j’en faisais «maison» et je pensais que c’était très compliqué. Le plus dur en fait est de bien les assaisonner. Pour le reste c’est assez facile. Ma grand-mère qui avait appris la cuisine à Lyon, nous préparait traditionnellement des quenelles de veau le dimanche soir : pochées dans de la sauce tomate avec des champignon : ma madeleine de Proust.
Petites quenelles de volaille au safran
Ingrédients pour 16 petites quenelles ou 8 moyennes :
50 cl de bouillon de volaille (bouillon Ariaké)
Quelques filaments de safran
2 escalopes de poulet moyennes
1 pincée de noix de muscade rapée
2 oeufs
80 g de beurre
25 cl de lait
150 g de farine
Faites chauffer votre bouillon de volaille avec les filaments de safran. Plongez les escalopes de volaille dans le bouillon et faites les cuire à feu moyen pendant 15 minutes environ. Au bout de 15 minutes, sortez-les du bouillon. Mettez de côté le bouillon, il vous servira à pocher les quenelles. Hachez finement les escalopes de poulet au mixer. Salez et poivrez vos quenelles. N’hésitez pas à goûter pour rectifier l’assaisonnement. Réservez la chair mixée.
Dans une casserole, versez le lait et le beurre coupé en dés avec une pointe de muscade râpée, du sel et du poivre. Faites chauffer doucement. Quand le beurre est fondu, ajoutez la farine en une seule fois; Remuez bien pour obtenir une pâte que vous allez dessécher pendant 5 minutes à feu doux en remuant constamment.
Coupez le feu et ajoutez un oeuf entier. Remuez bien. Quand l’oeuf est absorbé, ajoutez le second et faites la même opération. Rajoutez ensuite la chair de volaille mixée. Mélangez bien. vous obtenez une pâte épaisse qui va être facile à travailler. Laissez refroidir le tout pendant une petite heure.
Réalisez vos quenelles en prenant une portion de pâte : l’équivalent d’une cuillère à soupe bombée. Façonnez les en forme de quenelle en les roulant avec les paumes des mains. Vous pouvez en réaliser 16 petites quenelles ou 8 quenelles moyennes.
Faites réchauffez le bouillon au safran. Quand il est bien chaud (pas en ébullition), pochez vos quenelles. Elles vont grossir et remonter à la surface (elles doivent cuire environ 10/12 minutes). Servez les chaudes avec le bouillon.
Les quenelles étaient bonnes. En revanche je n’ai pas été convaincue par le bouillon de safran qui ne met pas en valeur la quenelle. Si vous testez cette recette, dites moi ce qu’il manque selon vous.
Cette recette est issue du Livre : Recettes et autres histoires de poules de Laurence et Gilles Laurendon chez Marabout.
Le paradoxe de La Laiterie*
Benoit Bernard est un chef à dreadlocks, globe-trotteur, épicurien et fort en gueule. Une vraie gueule.
Vif, il ne cache pas ses opinons, sur tout : la vie, Paris, la bouffe et le vin. Il les partage avec nous à table, part et revient car une idée lui a traversé l’esprit. Il nous dit qu’il y avait François Simon la semaine précédente dans son restaurant, et qu’il était à la plus mauvaise table. Il n’aime pas les blogs qui jugent trop vite et puis demande notre avis sur les vins nature.
Il voudrait renverser les codes de la cuisine mais finalement son âme est tellement amoureuse des produits notamment des poissons et de la truffe qu’il ne veut pas les martyriser avec d’audacieuses associations. Sa devise en cuisine "de bons produits, une belle assiette et une bonne cuisson"
2 ou 3 saveurs maximum par plat car il ne complexifie pas le plat, il le simplifie. La présentation est très classique, les cuissons impeccables. Les plats sont tous très équilibrés à l’exception du dessert qui nous décevra. Clientèle bourgeoise majoritairement lilloise. On est dans l’anti néo-bistrot parisien qui tortille dans tous les sens les ingrédients et cherche les associations les plus sauvages. Le personnel est parfait et efficace.
Finalement l’ogre fait peur mais ses plats rassurent… cherchez le paradoxe.
Nous avons commencé par 4 amuses bouche : petit croque monsieur doré, welsch rarebit,une succulente bouchée de thon aux 5 épices et des regatonis crème parmesan et truffe de Bourgogne.
Nous sommes entrés dans le vif du sujet avec en entrée un oeuf poché dans une émulsion aux topinambours, brunoise de topinambours et truffe. Très bon plat sans prise de risque mais parfaitement exécuté avec un jus de viande qui réhausse les saveurs.
Pour accompagner les amuses-bouche et l'entrée, un vin de la Vallée du Rhône, un Saint-Peray 2009, les Pôtiers de chez Guilleron, un vin gras aux notes de fleurs blanches.
En plat nous avons eu un bar à la peau délicatement croutillante avec une crème de cerfeuil tubéreux et un jus de persil.Sur le bar, un délicieux pannequet de blette farci d'huitre cuite avec des citrons confit. J'aime le bar comme cela. Un vin Corse naturel de chez Didier Arena à Patrimonio pour accompagner le poisson.
Le fromage est considéré comme un plat. Un demi Stillton est servi en centre de table.
Quel bonheur de couper de fines tranches à manger avec les excellents pains maison : campagne, céréales, baguette ou à l'huile d'olive. Nous avons le choix également dans les fromages au plateau avec une belle sélection de fromages du Nord et de brebis. Vin rouge au verre dont cette surprenante bouteille. Pas d'avis car je n'y ai pas gouté.
En pré-dessert, une gelée de rose au litchees, fraîche et délicate. Mais pourquoi ce napperon de papier qui plombe tout?
Nous avons été déçus par le dessert. Une brunoise de fruits exotiques servie avec un sorbet ananas, un coulis de mangue et des macarons coco. Pas d'originalité, un peu trop sucré. Le sorbet m'aurait suffi.
Ce menu Saveur 4 services est à 68 euros sans les vins et café. Un menu consensuel qui s'il n'est pas des plus original (ce qui permet de plaire aussi bien en repas d'affaires, qu'en réunion de famille)reste parfaitement exécuté.
La Laiterie*
138, avenue de l'hippodrome
59 130 - Lambersart
tel : 03 20 92 79 73
Les surprises nous les auront le lendemain chez In de Wulf.
Un peu de comfort food, un peu de Shanghai, un peu de musique
Article écrit et réalisé par Very Easy Kitchen
Je ne sais pas pour vous mais je trouve que cette année particulièrement la reprise cette semaine a été difficile. Cela fait longtemps maintenant que les entreprises demandent beaucoup à leurs salariés sous prétexte que la situation économique est dure. Et toute cette pression constante depuis de nombreux mois commence à peser très lourdement, avec peu de satisfaction en retour. J’aimerais un jour entendre que la situation économique est bonne, que l’on peut embaucher plus de monde, que l’on peut enfin réfléchir sans stress et oser des choses avec la possibilité de se planter sans dommage. Un jour peut-être...
Alors rien de mieux qu’une recette de Donna Hay, la reine de la Comfort Food australienne pour reprendre un peu de tonus. La recette d'origine est avec des navets mais j'ai préféré utiliser des navets boule d'or, à la belle couleur jaune et au goût plus sucré qui se prête bien à être rôtis.
Porc aux navets d’or et poires caramélisées
Pour 2 personnes
2 belles côtes de porc
2 poires fermes type conférence
4 navets boule d’or
1 citron bio
50 g de beurre
1 cuillère à soupe de sucre brun
sel et poivre du moulin
Faites préchauffez votre four à 220°C. Lavez et pelez vos navets. Coupez en tranches pas trop grosses. Coupez vos poires en 4 sans les peler. Dans un grand saladier, mettez vos navets, vos poires, arrosez les d’un demi-jus de citron et de cuillère à soupe d’eau. Avec les mains c’est plus facile, enrobez tous les légumes et fruits du jus de citron et du sucre. Quand vous avez bien mélangez, mettez les dans un plat allant au four, rajoutez le demi-citron non utiisé dans le plat et deux noisettes de beurre et enfournez pour 15 minutes.
Pendant ce temps, faites dorer à la poêle vos côtes de porc 2 minutes de chaque côté c’est juste pour la coloration. A mi-cuisson des navets, sortez le plat, remuez et placez sur le dessus vos côtes de porc. Remettez au four pour 20 minutes environ en diminuant le four à 200°C. Servez aussitôt.
En octobre l’année dernière je suis partie à Shanghai et après l’hôtel URBN je ne vous avais pas encore parlé de Shintori. Si vous avez prévu de vous rendre à Shanghai n’hésitez pas une seconde; La cuisine est fusion mais largement orientée vers le Japon. L’endroit est impressionnant et énorme.
C’est un espace tout en béton, rien de superflu, avec une estrade où officient les cuisiniers qui saluent à la japonaise toute personne qui entre. Une longue table d’hôtes au centre et un bar à sushis près de l’entrée permet de manger sans avoir à attendre une table. Atmosphère d’expats. En haut sur les mezzanines des tables pour voir et être vu (on peut y dîner tard et beaucoup d’expat viennent ici manger des sushis). Aucun endroit comparable en France dans cette demesure. Dommage que l’on n’ait pas l’équivalent à Paris.
C’est un espace tout en béton, rien de superflu, avec une estrade où officient les cuisiniers qui saluent à la japonaise toute personne qui entre. Une longue table d’hôtes au centre et un bar à sushis près de l’entrée permet de manger sans avoir à attendre une table. Atmosphère d’expats. En haut sur les mezzanines des tables pour voir et être vu (on peut y dîner tard et beaucoup d’expat viennent ici manger des sushis). Aucun endroit comparable en France dans cette demesure. Dommage que l’on n’ait pas l’équivalent à Paris.
La cuisine n’est pas ultra originale mais c’est très bon : poulet teriyaki, des tempuras de légumes, carpaccio de différents poissons ultra frais, une fondue où l’on plonge dans un bouillon des fines tranches de boeufs (beef sukiyaki), des légumes, champignons enoki et tofu, et un sublime dessert : glace au sésame noir avec un flan vapeur au sésame blanc à mourir.
Shintori
803 Julu Road, by Fumin Road
( French Concession)
Tel : +86 (21) 5404-5252
Nous avons également craqué deux fois pendant notre séjour pour M.Ms Bund, le restaurant de Paul Pairet, chef français qui ouvre les endroits les plus hype de Shanghai. C’est surtout sa tarte au citron strastosphérique qui nous a fait revenir deux fois. Un citron confit longuement évidé et ensuite rempli d’un sorbet citron, d’un lemon curd et d’une chantilly citronnée accompagné d'une barrette de sablé breton.
(photo prise sur flickr).
On y dîne et ensuite direction l’étage supérieur au Red Bar dont la terrasse panoramique offre une des plus belles vues de nuit sur Pudong (musique pointue et atmosphère décadente ).
Pour finir, un peu de magie avec ce morceau merveilleux de Cascadeur, un des meilleurs morceau de 2010 pour moi. En concert le 23 mars au Café de la Danse à Paris.
Cascadeur - Walker clip officiel
envoyé par jimihubabua. - Clip, interview et concert.
Now I'm lost, I lost the way to go, I walk for miles, I talk for lies, looser...
Now I'm lost I waste my time my days, I eat sometimes I drink some wine, winner...
I'm a walker, walker, walker, walker.
Now I'm lost, I lost my words and soul my cards and keys, but not my name, walker
Now I'm lost, I waste my life away,
Like a blank that's my left wonder
I'm a walker, walker, walker, walker.
Pour finir, un peu de magie avec ce morceau merveilleux de Cascadeur, un des meilleurs morceau de 2010 pour moi. En concert le 23 mars au Café de la Danse à Paris.
Cascadeur - Walker clip officiel
envoyé par jimihubabua. - Clip, interview et concert.
Now I'm lost, I lost the way to go, I walk for miles, I talk for lies, looser...
Now I'm lost I waste my time my days, I eat sometimes I drink some wine, winner...
I'm a walker, walker, walker, walker.
Now I'm lost, I lost my words and soul my cards and keys, but not my name, walker
Now I'm lost, I waste my life away,
Like a blank that's my left wonder
I'm a walker, walker, walker, walker.
Semifreddo aux amarettis - Amarettis aux noisettes
Article écrit et réalisé par Very Easy Kitchen
Je vous souhaite une excellente année 2011 qu’elle soit douce comme le sucre, brûlante comme le café et épicée comme un curry indien.
C’est toujours difficile le premier post de l’année. Sous quel signe le commencer ?
Pour les amarettis j’ai pris la recette d’ Amuses Bouche. Blog que vous connaissez tous bien sûr car c’est l’un des plus pro de la blogosphère. La recette est parfaite.
Je vous souhaite une excellente année 2011 qu’elle soit douce comme le sucre, brûlante comme le café et épicée comme un curry indien.
C’est toujours difficile le premier post de l’année. Sous quel signe le commencer ?
Comment l’aborder ? Même si je déteste les fêtes de fin d’année, j’ai toujours envie de prendre une bonne résolution pour la nouvelle année et d’essayer de m’y tenir. J’ai toujours suivi mes résolutions peut-être parce qu’elles correspondaient à une vraie envie. Le 1er janvier n’est finalement qu’un prétexte à un changement.
Continuer le blog sans y mettre d’enjeu particulier ne sera pas ma bonne résolution de l’année. Pour l’instant et malgré la 5ème année qui s’annonce, je n’ai pas de lassitude à découvrir et à vous faire partager mes expériences culinaires donc je poursuis la route. C’est agréable d’avoir de nouveaux lecteurs et de découvrir aussi leurs univers. Ma bonne résolution de l’année, je la garde pour moi...
Donc pour commencer cette année, j’ai décidé de mélanger le feu et la glace. En plongeant des semifreddos aux amarettis dans un café brûlant. J'ai trouvé cette recette chez Altergusto. J'ai juste introduit des amarettis aux noisettes pour lui donner un caractère piémontais.
Continuer le blog sans y mettre d’enjeu particulier ne sera pas ma bonne résolution de l’année. Pour l’instant et malgré la 5ème année qui s’annonce, je n’ai pas de lassitude à découvrir et à vous faire partager mes expériences culinaires donc je poursuis la route. C’est agréable d’avoir de nouveaux lecteurs et de découvrir aussi leurs univers. Ma bonne résolution de l’année, je la garde pour moi...
Donc pour commencer cette année, j’ai décidé de mélanger le feu et la glace. En plongeant des semifreddos aux amarettis dans un café brûlant. J'ai trouvé cette recette chez Altergusto. J'ai juste introduit des amarettis aux noisettes pour lui donner un caractère piémontais.
Pour les amarettis j’ai pris la recette d’ Amuses Bouche. Blog que vous connaissez tous bien sûr car c’est l’un des plus pro de la blogosphère. La recette est parfaite.
Amarettis aux noisettes
Pour 20 pièces
50 g de blancs d’œuf (cela correspond à deux petits oeufs ou 1 oeuf et demi s’ils sont moyens)
100 g de poudre de noisettes tamisée
50 g de poudre d’amandes tamisée
150 g de sucre glace tamisé
Quelques goûtes d’extrait d’amande amère
40 g de sucre glace (parfumé au spéculos et chocolat pour moi optionnel)
Mélangez sucre glace, poudre de noisette et poudre d’amande. Ajoutez les blancs d’œufs et mélangez jusqu’à obtenir une pâte homogène. Formez de petites boules de pâte, roulez-les dans le sucre glace parfumé et placez-les sur une plaque de silicone recouverte
Mettez au four 15 minutes à 150°C (th.5).
A la sortie du four, les amarettis sont encore plus ou moins mous, attendez qu’ils soient totalement refroidis pour les retirer de la plaque.
Semifreddo aux amarettis et café brûlant
pour 4 personnes
2 blancs d’oeufs
1 cuillère à café de jus de citron
60 g de sucre
20 cl de crème fleurette entière pour chantilly
4 amarettis aux amandes ou aux noisettes (environ 100 g)
4 expressos
Sur les 20 amarettis, prélevez en 4 que vous allez émiettez aux doigts. Vous pouvez les réduite en poudre mais j’aime bien avoir encore quelques morceaux d’amarettis dans le semi-freddo.
Battez au fouet électrique les blanc d’oeufs et le citron en commençant à vitesse lente puis en augmentant la vitesse quand les blancs commencent à mousser. Lorsque qu’ils sont bien mousseux et qu’ils blanchissent, ajoutez le sucre et battre à vitesse rapide pendant environ 2 minutes.
Dans un autre récipient, montez la crème très froide en chantilly. Incorporez délicatement la crème montée aux blancs en neige et toujours délicatement, les amarettis mixés ou émiettés.
Versez dans des moules en silicone individuel ou dans une petite terrine. Entreposer au congélateur au moins 4h. Démoulez les semi-freddos dans un verre et versez dessus un café brulant. Dégustez aussitôt.
Dans les news, j’ai testé la pâtisserie de Philippe Rigollot à Annecy (1 place Georges Volland). Vous l’avez peut-être aperçu lors du reportage sur la Revanche des Pâtissiers sur France 5. Excellente bûche Passionnément (croustilant à la noix de coco, crémeux passion mangue et mousse citron vert) très agréable à la fin d’un repas. Ses chocolats notamment au Yuzu et le praliné aux cacaouettes très bons aussi même si on en trouve d’autres excellents sur la région Annécienne (je pense à Desserts et Chocolat à Rumilly). Un gros bémol sur les macarons que j’ai trouvé affreusement secs et sans goût. Il propose quelques plats salés et une belle terrasse va nous tendre les bras cet été même si elle ne bénéficie pas d’une vue touristique (une vue touristique à Annecy est une vue sur un canal, sur le lac et les montagnes ou sur une belles enfilade de maisons savoyardes mais vous serez ainsi préserver de la foule).
N'oubliez pas de voter pour mon flan aux poires et espuma Gorgonzola chez Clémence pour le KKVKK 37. Je suis le numéro numéro 2.
Je vais essayer de tenir un rythme hebdomadaire mais je posterai surtout en fonction des envies et des coups de coeur. Bonne année 2011.
50 g de blancs d’œuf (cela correspond à deux petits oeufs ou 1 oeuf et demi s’ils sont moyens)
100 g de poudre de noisettes tamisée
50 g de poudre d’amandes tamisée
150 g de sucre glace tamisé
Quelques goûtes d’extrait d’amande amère
40 g de sucre glace (parfumé au spéculos et chocolat pour moi optionnel)
Mélangez sucre glace, poudre de noisette et poudre d’amande. Ajoutez les blancs d’œufs et mélangez jusqu’à obtenir une pâte homogène. Formez de petites boules de pâte, roulez-les dans le sucre glace parfumé et placez-les sur une plaque de silicone recouverte
Mettez au four 15 minutes à 150°C (th.5).
A la sortie du four, les amarettis sont encore plus ou moins mous, attendez qu’ils soient totalement refroidis pour les retirer de la plaque.
Semifreddo aux amarettis et café brûlant
pour 4 personnes
2 blancs d’oeufs
1 cuillère à café de jus de citron
60 g de sucre
20 cl de crème fleurette entière pour chantilly
4 amarettis aux amandes ou aux noisettes (environ 100 g)
4 expressos
Sur les 20 amarettis, prélevez en 4 que vous allez émiettez aux doigts. Vous pouvez les réduite en poudre mais j’aime bien avoir encore quelques morceaux d’amarettis dans le semi-freddo.
Battez au fouet électrique les blanc d’oeufs et le citron en commençant à vitesse lente puis en augmentant la vitesse quand les blancs commencent à mousser. Lorsque qu’ils sont bien mousseux et qu’ils blanchissent, ajoutez le sucre et battre à vitesse rapide pendant environ 2 minutes.
Dans un autre récipient, montez la crème très froide en chantilly. Incorporez délicatement la crème montée aux blancs en neige et toujours délicatement, les amarettis mixés ou émiettés.
Versez dans des moules en silicone individuel ou dans une petite terrine. Entreposer au congélateur au moins 4h. Démoulez les semi-freddos dans un verre et versez dessus un café brulant. Dégustez aussitôt.
Dans les news, j’ai testé la pâtisserie de Philippe Rigollot à Annecy (1 place Georges Volland). Vous l’avez peut-être aperçu lors du reportage sur la Revanche des Pâtissiers sur France 5. Excellente bûche Passionnément (croustilant à la noix de coco, crémeux passion mangue et mousse citron vert) très agréable à la fin d’un repas. Ses chocolats notamment au Yuzu et le praliné aux cacaouettes très bons aussi même si on en trouve d’autres excellents sur la région Annécienne (je pense à Desserts et Chocolat à Rumilly). Un gros bémol sur les macarons que j’ai trouvé affreusement secs et sans goût. Il propose quelques plats salés et une belle terrasse va nous tendre les bras cet été même si elle ne bénéficie pas d’une vue touristique (une vue touristique à Annecy est une vue sur un canal, sur le lac et les montagnes ou sur une belles enfilade de maisons savoyardes mais vous serez ainsi préserver de la foule).
N'oubliez pas de voter pour mon flan aux poires et espuma Gorgonzola chez Clémence pour le KKVKK 37. Je suis le numéro numéro 2.
Je vais essayer de tenir un rythme hebdomadaire mais je posterai surtout en fonction des envies et des coups de coeur. Bonne année 2011.